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Les comorbidités soulèvent la question du recours du sujet psychotique à la drogue et au centre de cette dialectique, l’hallucination a parfois une fonction majeure. Face à la passivation par les phénomènes élémentaires, le sujet peut en effet choisir d’induire un autre système hallucinatoire. L’exploitation de l’imaginaire se conjugue avec le culte du corps et du narcissisme en faveur d’une quête d’autoengendrement. En ces circonstances, la jouissance toxique préserve de la jouissance pulsionnelle tant que le sexuel n’entre pas en ligne de compte.

Comorbidities raise the question about the use of drugs by the psychotic patient. At the center of this dialectic, hallucination has a major function. In the face of passivation by basic phenomena, the subject may choose to induce another hallucinatory system. Utilization of imagination is sometimes associated with the cult of the body and narcissism in favor of a search of self-perpetuating. Toxic enjoyment preserves from basic enjoyment as long as sexual enjoyment does not interfere.