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RésuméL’auteur se penche sur les « nouvelles » pathologies, pathologies de l’excès issues d’une modernité hyperstimulante face à laquelle adultes comme enfants se trouvent désorientés. L’auteur défend ainsi la « vacance », vacuole nécessaire pour que du sujet pensant se construise, véritable disponibilité psychique, autant qu’il réhabilite la fonction du jeu hors considération éducative directe. Jeu qui ne saurait être réduit à son interprétation quantitative mais qui demeure un espace intermédiaire et partagé, toujours à inventer, de création.

The author looks into the « new » pathologies, linked with excessive behaviors, stemming from this overstimulating modernity, with which adults and children are bewildered. The author praises therefore the inactivity, necessary emptiness that authorizes the thinking subject to build a true psychological availability and that restores the importance of playing, beyond any direct educative considerations, as it can’t be summed up to its quantitative interpretation, but remains an intermediate and shared space of creation, that always has to be recreated.