Une santé intégrative à la française : un défi à relever
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The article “An Integrative Health Approach in France: A Challenge to Overcome” examines the evolution and integration of conventional and non-conventional healthcare practices in France. Traditionally, conventional medicine, regulated by institutions like the National Academy of Medicine, was considered legitimate, while non-conventional practices were marginalized. However, a gradual shift towards a more integrative approach is observed, where non-conventional care is gaining recognition. The National Academy of Medicine now acknowledges the citizens’ desire for healthcare that goes beyond what the conventional system offers. This openness requires a pragmatic reorganization of the healthcare system to balance structuring and the free exercise of health practices. The WHO’s definition of health, including physical, mental, and social well-being, broadens the scope of health beyond the mere absence of disease. The article also highlights the importance of the humanistic dimension of medicine, often overshadowed by scientific advancements. Traditional practices, though perceived as obsolete by some, continue to play a crucial role in human care. The concept of integrative medicine, originating in the United States, combines conventional and non-conventional approaches, and its adaptation in France requires exploring cultural and linguistic implications. To meet the population’s aspirations and WHO’s guidelines, collaboration among various health actors is essential. This includes healthcare professionals, academics, patient associations, and public authorities. The goal is to create an integrative health system that benefits both individuals and society as a whole.
L’article "Une santé intégrative à la française : un défi à relever” examine l’évolution et l’intégration des pratiques de soins conventionnelles et non conventionnelles en France. Traditionnellement, la médecine conventionnelle, régulée par des institutions comme l’Académie nationale de médecine, était considérée comme légitime, tandis que les pratiques non conventionnelles étaient marginalisées. Cependant, un changement progressif vers une approche plus intégrative est observé, où les soins non conventionnels gagnent en reconnaissance. L’Académie nationale de médecine reconnaît désormais le souhait des citoyens de bénéficier de soins au-delà de ceux proposés par le système conventionnel. Cette ouverture nécessite une réorganisation pragmatique du système de santé pour équilibrer structuration et libre exercice des pratiques de santé. La définition de la santé par l’OMS, incluant le bien-être physique, mental et social, élargit le champ de la santé au-delà de la simple absence de maladie. L’article souligne également l’importance de la dimension humaniste de la médecine, souvent éclipsée par les avancées scientifiques. Les pratiques traditionnelles, bien que perçues comme obsolètes par certains, continuent de jouer un rôle crucial dans le soin humain. Le concept de santé intégrative, né aux États-Unis, combine les approches conventionnelles et non conventionnelles, et son adaptation en France nécessite une exploration des implications culturelles et linguistiques. Pour répondre aux aspirations de la population et aux directives de l’OMS, une collaboration entre divers acteurs de la santé est essentielle. Cela inclut les professionnels de santé, les universitaires, les associations de patients, et les pouvoirs publics. L’objectif est de créer un système de santé intégratif qui bénéficie à la fois aux individus et à la société dans son ensemble.
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