Tests biologiques utiles dans le diagnostic et la surveillance de l’ostéoporose
Nassar, Kawtar
Tests biologiques utiles dans le diagnostic et la surveillance de l’ostéoporose - 2024.
53
L’ostéoporose est la plus fréquente des maladies fragilisantes du squelette. Elle touche plus de 200 millions de personnes dans le monde. Depuis la conférence internationale de consensus de Hong Kong en 1993, celle d’Amsterdam en 1996, et du NIH en 2001, l’ostéoporose est définie par une diminution progressive de la masse osseuse et d’altérations qualitatives du tissu osseux, donc de la résistance osseuse, prédisposant le patient à un risque accru de fractures [1]. L’OMS a défini en 1994 des critères diagnostiques de l’ostéoporose densitométrique basés sur la mesure de la densité minérale osseuse (DMO) par DXA. L’ostéoporose post-ménopausique survient dans un contexte hormonal particulier. C’est une véritable épidémie silencieuse, jusqu’au moment où apparaissent les complications fracturaires [2,3]. Le développement et la plus grande disponibilité des méthodes de mesure non invasives du contenu minéral osseux ont contribué à faciliter le dépistage et l’évaluation du risque fracturaire. Osteoporosis is the most common weakening disease of the skeleton. It affects more than 200 million people worldwide. Since the international consensus conference of Hong Kong in 1993, that of Amsterdam in 1996, and the NIH in 2001, osteoporosis has been defined by a progressive decrease in bone mass and qualitative alterations of bone tissue, therefore of bone strength, predisposing the patient to an increased risk of fractures [1]. In 1994, the WHO defined diagnostic criteria for densitometric osteoporosis based on the measurement of bone mineral density (BMD) by DXA. Postmenopausal osteoporosis occurs in a specific hormonal context. It is a real silent epidemic, until fracture complications appear [2,3]. The development and greater availability of non-invasive methods for measuring bone mineral content have contributed to facilitating the screening and assessment of fracture risk.
Tests biologiques utiles dans le diagnostic et la surveillance de l’ostéoporose - 2024.
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L’ostéoporose est la plus fréquente des maladies fragilisantes du squelette. Elle touche plus de 200 millions de personnes dans le monde. Depuis la conférence internationale de consensus de Hong Kong en 1993, celle d’Amsterdam en 1996, et du NIH en 2001, l’ostéoporose est définie par une diminution progressive de la masse osseuse et d’altérations qualitatives du tissu osseux, donc de la résistance osseuse, prédisposant le patient à un risque accru de fractures [1]. L’OMS a défini en 1994 des critères diagnostiques de l’ostéoporose densitométrique basés sur la mesure de la densité minérale osseuse (DMO) par DXA. L’ostéoporose post-ménopausique survient dans un contexte hormonal particulier. C’est une véritable épidémie silencieuse, jusqu’au moment où apparaissent les complications fracturaires [2,3]. Le développement et la plus grande disponibilité des méthodes de mesure non invasives du contenu minéral osseux ont contribué à faciliter le dépistage et l’évaluation du risque fracturaire. Osteoporosis is the most common weakening disease of the skeleton. It affects more than 200 million people worldwide. Since the international consensus conference of Hong Kong in 1993, that of Amsterdam in 1996, and the NIH in 2001, osteoporosis has been defined by a progressive decrease in bone mass and qualitative alterations of bone tissue, therefore of bone strength, predisposing the patient to an increased risk of fractures [1]. In 1994, the WHO defined diagnostic criteria for densitometric osteoporosis based on the measurement of bone mineral density (BMD) by DXA. Postmenopausal osteoporosis occurs in a specific hormonal context. It is a real silent epidemic, until fracture complications appear [2,3]. The development and greater availability of non-invasive methods for measuring bone mineral content have contributed to facilitating the screening and assessment of fracture risk.




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