Obama, le pouvoir exécutif et la politique étrangère : un changement en trompe l'œil ?
Silverstein, Gordon
Obama, le pouvoir exécutif et la politique étrangère : un changement en trompe l'œil ? - 2009.
35
RésuméL’article porte sur la reformulation du cadre légal contre le terrorisme aux États-Unis avec Barack Obama. Il met en lumière un paradoxe entre Bush et Obama : la nouvelle présidence démocrate, plus respectueuse du Congrès et de la séparation des pouvoirs serait, en fait, plus « forte » qu’une présidence, comme celle de Bush Jr., qui tenterait d’agir sans (ou contre) le Congrès et serait moins attentive à la jurisprudence de la Cour Suprême. Obama, the Executive and Foreign Policy: A Change in trompe-l’œil ?The text deals with the new legal framework meant to combat terrorism implemented by the Obama administration. It highlights the paradox between the Bush and Obama administrations. By relying on statutory delegation as well as long-standing judicial precedent, the Obama administration may turn out to be “stronger” than Bush’s who instead relied on sweeping – and dubious – constitutional assertions of prerogative powers.
Obama, le pouvoir exécutif et la politique étrangère : un changement en trompe l'œil ? - 2009.
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RésuméL’article porte sur la reformulation du cadre légal contre le terrorisme aux États-Unis avec Barack Obama. Il met en lumière un paradoxe entre Bush et Obama : la nouvelle présidence démocrate, plus respectueuse du Congrès et de la séparation des pouvoirs serait, en fait, plus « forte » qu’une présidence, comme celle de Bush Jr., qui tenterait d’agir sans (ou contre) le Congrès et serait moins attentive à la jurisprudence de la Cour Suprême. Obama, the Executive and Foreign Policy: A Change in trompe-l’œil ?The text deals with the new legal framework meant to combat terrorism implemented by the Obama administration. It highlights the paradox between the Bush and Obama administrations. By relying on statutory delegation as well as long-standing judicial precedent, the Obama administration may turn out to be “stronger” than Bush’s who instead relied on sweeping – and dubious – constitutional assertions of prerogative powers.
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