La complémentarité entre dette bancaire et dette obligataire : une interprétation en termes de signaux (notice n° 252268)
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Authentication code | dc |
100 10 - MAIN ENTRY--PERSONAL NAME | |
Personal name | Lobez, Frédéric |
Relator term | author |
245 00 - TITLE STATEMENT | |
Title | La complémentarité entre dette bancaire et dette obligataire : une interprétation en termes de signaux |
260 ## - PUBLICATION, DISTRIBUTION, ETC. | |
Date of publication, distribution, etc. | 2007.<br/> |
500 ## - GENERAL NOTE | |
General note | 15 |
520 ## - SUMMARY, ETC. | |
Summary, etc. | RésuméDans ce travail, nous modélisons la complémentarité entre dette bancaire et dette obligataire dans un contexte où les banques se caractérisent par leur supériorité en matière d’évaluation des emprunteurs. Les entreprises peuvent signaler leur qualité au marché obligataire en recourant à de la dette bancaire. Un tel signal est coûteux dans la mesure où la banque utilise sa position dominante pour extraire une partie du surplus généré par le projet de l’entreprise. Nous montrons dans ce cadre que la part du financement bancaire est croissante avec la qualité des firmes.Nous étudions ensuite l’arbitrage entre un financement mixte (bancaire et obligataire) et un financement obligataire pur. Nous montrons alors que le marché obligataire est sollicité en tant que mode de financement unique, à la fois par les firmes de moindre qualité qui répugnent à se signaler, et par les meilleures qui y trouvent un mode de financement moins onéreux ; les firmes de qualité moyenne préfèrent négocier un financement mixte, bancaire et obligataire, tel que la part de la dette bancaire est alors croissante avec la qualité de la firme. |
520 ## - SUMMARY, ETC. | |
Summary, etc. | In this work, we show how complementary bank debt and bond debt are. Banks distinguish themselves from the bond market in the sense that they are the best evaluators of firms’ riskiness. Due to market power, bank rates are therefore uninformative and also more expensive than bond rates. In a context of adverse selection, firms can signal their quality to the bond market by using the size of bank debt. We show within this framework that the less risky the firm is, the larger the part of bank debt in its whole financing.Then, we study the trade-off between the previous signalling equilibrium (using both bank debt and bond debt) and an exclusive bond issue with fixed costs. We show that the exclusive bond issue is used by both the firms of best qualities and worst qualities: the first type wishing cheaper financing and the second type being reluctant to signal its quality. The firms of medium qualities prefer to negotiate mixed financing (bank debt and a bond issue). |
700 10 - ADDED ENTRY--PERSONAL NAME | |
Personal name | Statnik, Jean-Christophe |
Relator term | author |
786 0# - DATA SOURCE ENTRY | |
Note | Finance | 28 | 1 | 2007-06-01 | p. 5-27 | 0752-6180 |
856 41 - ELECTRONIC LOCATION AND ACCESS | |
Uniform Resource Identifier | <a href="https://shs.cairn.info/revue-finance-2007-1-page-5?lang=fr">https://shs.cairn.info/revue-finance-2007-1-page-5?lang=fr</a> |
Pas d'exemplaire disponible.
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