Chapitre 4. Le système financier indien : l'heure d'une deuxième vague de réformes a-t-elle sonné ? (notice n° 604515)
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Title | Chapitre 4. Le système financier indien : l'heure d'une deuxième vague de réformes a-t-elle sonné ? |
260 ## - PUBLICATION, DISTRIBUTION, ETC. | |
Date of publication, distribution, etc. | 2011.<br/> |
500 ## - GENERAL NOTE | |
General note | 94 |
520 ## - SUMMARY, ETC. | |
Summary, etc. | RésuméLe système financier indien a considérablement changé depuis les années 90. Les taux d’intérêt ont été déréglementés et de nouveaux acteurs ont été autorisés à entrer dans le secteur bancaire et dans celui des opérations de marché et de titres. Le marché d’actions indien a acquis une dimension internationale, tandis que sont apparues de nouvelles banques privées, plus axées sur la satisfaction du client que les banques publiques plus anciennes. Par ailleurs, l’épargne intérieure a connu une expansion considérable, très similaire à celle qu’avaient connue les économies d’Asie de l’Est pendant leur période de forte croissance. Cela renforce la nécessité de nouvelles réformes du secteur financier. Les banques doivent notamment disposer d’une latitude nettement plus grande en matière de répartition de leurs actifs. Les banques du secteur public ont effectivement paru plus solides au public au cours de la crise de 2007-08, en raison de la garantie implicite de l’État dont elles bénéficiaient, mais il conviendrait de les privatiser afin d’améliorer leur gouvernance et de minimiser la nécessité récurrente de les recapitaliser. Les obstacles subsistant à l’entrée de nouveaux acteurs doivent être réduits. L’inclusion financière revêt une importance prioritaire et les restrictions relatives à la microfinance devraient être évitées. Il est également nécessaire de remettre à plat le cadre législatif et réglementaire, en codifiant les différentes dispositions juridiques en vigueur. Ces réformes déboucheraient non seulement sur des gains d’efficience dans le secteur financier, mais elles auraient sans doute aussi des effets d’entraînement positifs sur le reste de l’économie, et contribueraient à entretenir une croissance rapide. |
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Note | Études économiques de l’OCDE | 10 | 10 | 2011-10-01 | p. 131-171 | 0304-3363 |
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