L’héritage des jeux au prisme des dispositifs scolaires de mise à l’activité physique : les difficiles liens entre sport et école
Type de matériel :
TexteLangue : français Détails de publication : 2024.
Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : Physical inactivity and a sedentary lifestyle have been singled out as scourges that particularly affect young people. With the prospect of the Olympic and Paralympic Games in Paris and the definition of the national sport-health strategy, increasing the number of young people taking part in physical and sports activity has become a central part of the legacy project. A number of schemes have been set up in the school system with this in mind. Our article focuses on three of them : the Generation 2024 label (G2024), the 30 minutes of daily physical activity (30APQ), and the 2 extra hours of sports in high school (2HSC). This article is based on work carried out as part of several surveys mobilizing a variety of material : mainly documentation and interviews. We show that these schemes are based, among other things, on bringing the various school levels closer to the world of sports, but that this remains a difficult task. This raises the question of the legacy in terms of increased sports participation among young people.Abrégé : L’inactivité physique et la sédentarité sont pointées du doigt comme des fléaux touchant particulièrement la jeunesse. La perspective des jeux olympiques et paralympiques (JOP) et la définition de la stratégie nationale sport-santé ont mis au cœur du projet d’héritage l’augmentation de la pratique physique et sportive des jeunes. Plusieurs dispositifs sont mis en place dans le système scolaire dans cette perspective. Notre article porte sur trois d’entre eux : le label Génération 2024 (G2024), les 30 minutes d’activité physique quotidienne (30APQ) et les 2 heures en plus de sport au collège (2HSC). L’article se fonde sur des travaux réalisés dans le cadre de plusieurs enquêtes mobilisant un matériau divers : documentation et entretiens principalement. Nous montrons que ces dispositifs sont fondés, entre autres, sur un rapprochement des différents niveaux scolaires avec le monde sportif mais que celui-ci reste difficile. Ainsi, la question de l’héritage en termes d’augmentation de la pratique sportive des jeunes se pose.
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Physical inactivity and a sedentary lifestyle have been singled out as scourges that particularly affect young people. With the prospect of the Olympic and Paralympic Games in Paris and the definition of the national sport-health strategy, increasing the number of young people taking part in physical and sports activity has become a central part of the legacy project. A number of schemes have been set up in the school system with this in mind. Our article focuses on three of them : the Generation 2024 label (G2024), the 30 minutes of daily physical activity (30APQ), and the 2 extra hours of sports in high school (2HSC). This article is based on work carried out as part of several surveys mobilizing a variety of material : mainly documentation and interviews. We show that these schemes are based, among other things, on bringing the various school levels closer to the world of sports, but that this remains a difficult task. This raises the question of the legacy in terms of increased sports participation among young people.
L’inactivité physique et la sédentarité sont pointées du doigt comme des fléaux touchant particulièrement la jeunesse. La perspective des jeux olympiques et paralympiques (JOP) et la définition de la stratégie nationale sport-santé ont mis au cœur du projet d’héritage l’augmentation de la pratique physique et sportive des jeunes. Plusieurs dispositifs sont mis en place dans le système scolaire dans cette perspective. Notre article porte sur trois d’entre eux : le label Génération 2024 (G2024), les 30 minutes d’activité physique quotidienne (30APQ) et les 2 heures en plus de sport au collège (2HSC). L’article se fonde sur des travaux réalisés dans le cadre de plusieurs enquêtes mobilisant un matériau divers : documentation et entretiens principalement. Nous montrons que ces dispositifs sont fondés, entre autres, sur un rapprochement des différents niveaux scolaires avec le monde sportif mais que celui-ci reste difficile. Ainsi, la question de l’héritage en termes d’augmentation de la pratique sportive des jeunes se pose.
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