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Dans le milieu de la danse jazz, l’incorporation du métier de danseuse se focalise principalement autour de l’interprétation sur scène comme forme de consécration absolue. Elle conduit du même coup à faire de l’enseignement une sorte de pis-aller, un revenu subsidiaire, en attendant de « décrocher » un travail de danseur interprète pour une compagnie. Cette tension contribue alors à faire de l’enseignement de la spécialité une activité précaire, le plus souvent vécue sur le mode provisoire, et qui, paradoxalement, se perpétue dans le long terme.

In the small word of jazz dance in France, the incorporation of the dancer’s profession focuses mainly on the performance on stage, seen as the absolute consecration. It subsequently leads to consider teaching as a subsidiary activity, a complementary income, while waiting to obtain a position of dancer interpreter in a company. This tension thus contributes to maintain jazz dance teaching as a precarious activity mostly lived as a temporary one, and which, paradoxically, continues regularly.

En el medio del baile jazz, la incorporación del oficio de danzante principalmente se enfueca alrededor de la interpretación en escena como forma de consagración absoluta. Conduce al mismo tiempo a hacer de la enseñanza, un tipo de ir peor, una renta subsidiaria, esperando « descolgar » un trabajo de danzante interpreta para una compañía. Esta tensión contribuye entonces a hacer de la enseñanza de la especialidad una actividad precaria, que suele vivida sobre el modo provisional, y que, paradójicamente, se perpetúa regularmente.