L'art comme prothèse
Type de matériel :
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Résumé S’il est indéniable que l’univers de Crash évoque le monde du psychotique, la question du symptôme reste entière : s’agit-il du symptôme psychotique ou du sinthome joycien ? L’auteur démontre que la suppléance dans ce film de Cronenberg relève de l’ordre du sinthome joycien et que c’est au spectateur de le produire.
If Lacan’s account of a psychotic world in his seminar on psychosis seems to fit Cronenberg’s film Crash, the question of the symptom remains. The author explains how the supplement in Crash is not the psychotic symptom but the joycean sinthome, the viewer providing it.
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