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Justice pénale internationale et violences électorales

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2011. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : La Cour pénale internationale (CPI) a autorisé, en 2010, l’ouverture d’une enquête officielle sur les violences qui ont ravagé le Kenya à la suite des élections présidentielles de 2007. C’est la première fois dans le pays que les principaux responsables de violences électorales qui sévissent depuis 1990 sont poursuivis de manière crédible par une instance judiciaire. La CPI apparaît pour le Kenya comme le seul espoir de rompre avec la complète impunité qui caractérise le pays, ce qui constituerait une contribution sans précédent. Néanmoins, au-delà de la condamnation d’un nombre restreint d’individus, un grand nombre d’attentes se révèlent irréalistes.Abrégé : International Criminal Justice and Electoral Violence: The Stakes of the ICC’s Involvement in Kenya In 2010, the International Criminal Court (ICC) authorized the opening of an official investigation into the violence that ravaged Kenya after the 2007 presidential elections. This will be the first bona fide proceedings that pursue those bearing the greatest responsibility for the electoral violence that has plagued the country since the early 1990s. The ICC is thus Kenya’s only hope for breaking the country’s record of complete impunity, which would constitute an unprecedented achievement. Nonetheless, numerous expectations that go beyond the imprisonment of a few perpetrators appear unrealistic.Abrégé : Justicia penal internacional y violencias electorales. Los desafío de la CPI en Kenia La corte penal internacional (CPI) autorizó, en 2010, la apertura de una investigación oficial sobre las violencias que han asolado Kenia luego de las elecciones presidenciales de 2007. Es la primera vez que los principales responsables de violencias electorales, que se desarrollan desde 1990, son perseguidos en ese país por una instancia judicial. La CPI aparece para Kenia como la única esperanza de romper con la inmunidad absoluta que caracteriza el país, lo que constituiría un avance sin precedentes. Sin embargo, más allá de la condena de un número limitado de individuos, gran parte de las expectativas parecen ser poco realistas.
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La Cour pénale internationale (CPI) a autorisé, en 2010, l’ouverture d’une enquête officielle sur les violences qui ont ravagé le Kenya à la suite des élections présidentielles de 2007. C’est la première fois dans le pays que les principaux responsables de violences électorales qui sévissent depuis 1990 sont poursuivis de manière crédible par une instance judiciaire. La CPI apparaît pour le Kenya comme le seul espoir de rompre avec la complète impunité qui caractérise le pays, ce qui constituerait une contribution sans précédent. Néanmoins, au-delà de la condamnation d’un nombre restreint d’individus, un grand nombre d’attentes se révèlent irréalistes.

International Criminal Justice and Electoral Violence: The Stakes of the ICC’s Involvement in Kenya In 2010, the International Criminal Court (ICC) authorized the opening of an official investigation into the violence that ravaged Kenya after the 2007 presidential elections. This will be the first bona fide proceedings that pursue those bearing the greatest responsibility for the electoral violence that has plagued the country since the early 1990s. The ICC is thus Kenya’s only hope for breaking the country’s record of complete impunity, which would constitute an unprecedented achievement. Nonetheless, numerous expectations that go beyond the imprisonment of a few perpetrators appear unrealistic.

Justicia penal internacional y violencias electorales. Los desafío de la CPI en Kenia La corte penal internacional (CPI) autorizó, en 2010, la apertura de una investigación oficial sobre las violencias que han asolado Kenia luego de las elecciones presidenciales de 2007. Es la primera vez que los principales responsables de violencias electorales, que se desarrollan desde 1990, son perseguidos en ese país por una instancia judicial. La CPI aparece para Kenia como la única esperanza de romper con la inmunidad absoluta que caracteriza el país, lo que constituiría un avance sin precedentes. Sin embargo, más allá de la condena de un número limitado de individuos, gran parte de las expectativas parecen ser poco realistas.

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