Image de Google Jackets
Vue normale Vue MARC vue ISBD

Crise ? Vous avez dit : « Crise » ?

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2012. Ressources en ligne : Abrégé : Crise et environnement institutionnel, crise et anticipations organisationnelles et crise et comportements des consommateurs, sont autant de scansion de ce mot « crise », mot qui, depuis plus de quatre ans, pour les moins perspicaces et depuis plus de trente ans, pour ceux qui scrutent avec attention les mouvements profonds, est le mot approprié à ce stade de développement du système économique contemporain. Mais «  de quelles crises parlons-nous ? » : Celle qui est le fruit d’un système, d’une idéologie qui l’habite et dont la moindre habileté a été même de tenter de se présenter comme indépassable, « par la fin de l’histoire » ! Or, comme Max Weber, il nous semble que les connaissances d’aujourd’hui sont toujours destinées à être dépassées, surtout en sciences humaines, puisque la société se transforme constamment. Il n’y a donc aucun modèle économique qui ne doive être discuté pour être amélioré voire remplacé. Se plonger dans la pensée de Sismondi, aujourd’hui à tort bien oublié ou étudier Karl Polanyi sont autant d’apports à une réflexion contemporaine qui ne peut opposer en permanence Keynes, résumé souvent au déficit des politiques publiques et les « Chicago Boys » dont l’action auprès d’Augusto Pinochet est bien symbolique de ce « néo-libéralisme » des conservateurs américains qui s’étend encore sur le monde, malgré les crises qu’il a engendrées. Crise ? Vous avez dit : « Crise » ? Une question, un constat, mais aussi à la manière d’« hommes pensants », des pistes et des solutions que gestionnaires au sens le plus large du terme, « ceux qui s’occupent des autres et de leurs entreprises », apportent par les treize articles, ordonnés en trois dossiers thématiques de ce numéro de printemps qui ouvre une nouvelle perspective de réflexion et d’action car « il est temps de remettre la production avant la spéculation, l’investissement d’avenir avant la satisfaction du présent, l’emploi durable avant le profit immédiat ».Abrégé : Crisis ? Did you say : « Crisis » ? Crisis and institutional environment, crisis and organisational anticipations and crisis and consumer behaviour, just a few of the uses of the word « crisis » ; a word which, for over four years now, for the less perspicacious, and for over thirty years, for those who have been watching the bigger picture, has been the most appropriate word for this stage of development of the contemporary economic system. But exactly « what crisis are we talking about ? ». That which is the result of a system, of an ideology which inhabits this system and of which the slightest of abilities was to try and present itself as unable to be exceeded, « by the end of the story » ! Yet, just as Max Weber stated, it seems that today’s knowledge is still destined to be exceeded, particularly in the humanities, since society is constantly undergoing transformation. There is, therefore, no economic model which should not be discussed in order to be improved, or replaced. By delving into the ideal of Sismondi, today wrongfully forgotten, or in studying Karl Polanyi, we can gain much support for contemporary reflection which cannot continuously oppose Keynes, often summarised to the deficit of public policies and the « Chicago Boys » of which the action with Augusto Pinochet is truly symbolic of this « neo-liberalism » of American conservatives which is spreading across the globe, despite the crises which it has created. Crisis ? Did you say : « Crisis » ? A question, and observation, but also in the manner of « great thinkers », solutions and alternatives which managers, in the widest sense of the term, « those who look after others and their businesses », provide through thirteen articles, collated into three thematic sections in this Spring edition which opens up new areas for reflection and action as « it is indeed time to put production before speculation, future investment before current satisfaction, sustainable employment before immediate profiteering ».Abrégé : ¿Crisis ? ¿Ha dicho « crisis » ? Crisis y entorno institucional, crisis y anticipaciones organizativas, y crisis y comportamiento de los consumidores son todo métricas del término « crisis », que desde hace más de cuatro años para los menos perspicaces y desde hace más de treinta para los que escudriñan atentamente los movimientos profundos, es el que se adecúa a esta fase de desarrollo del sistema económico contemporáneo. Pero « ¿de qué crisis hablamos ? » La que es fruto de un sistema, de una ideología que reina en él y cuya menor de las habilidades ha sido intentar incluso presentarse como insuperable ¡ « hasta el fin de la historia » ! O, como Max Weber, nos parece que los conocimientos de hoy están siempre destinados a ser superados, sobre todo en el ámbito de las ciencias humanas, ya que la sociedad se transforma constantemente. Por tanto, no hay ningún modelo económico sobre el que no deba deliberarse para mejorarlo e incluso sustituirlo. Sumergirse en el pensamiento de Sismondi, hoy olvidado sin razón, o estudiar a Karl Polanyi son aportaciones a una reflexión contemporánea que no puede oponer permanentemente a Keynes, resumido con frecuencia en el déficit de las políticas públicas, y a los « Chicago Boys », cuya acción ante Augusto Pinochet es muy simbólica de este « neoliberalismo » de los conservadores americanos que aún se extiende por el mundo, pese a las crisis que ha engendrado. ¿Crisis ? ¿Ha dicho « crisis » ? Una pregunta, una conclusión, pero también, al estilo de los « hombres pensantes », pistas y soluciones que aportan los gestores en el sentido más amplio del término, « los que se ocupan de los demás y de sus empresas », mediante los trece artículos ordenados en tres dossiers temáticos de este número de primavera que abre una nueva perspectiva de reflexión y de acción, ya que « ha llegado la hora de volver a situar la producción antes que la especulación, la inversión de futuro antes que la satisfacción del presente y el empleo sostenible antes que el beneficio inmediato ».
Tags de cette bibliothèque : Pas de tags pour ce titre. Connectez-vous pour ajouter des tags.
Evaluations
    Classement moyen : 0.0 (0 votes)
Nous n'avons pas d'exemplaire de ce document

76

Crise et environnement institutionnel, crise et anticipations organisationnelles et crise et comportements des consommateurs, sont autant de scansion de ce mot « crise », mot qui, depuis plus de quatre ans, pour les moins perspicaces et depuis plus de trente ans, pour ceux qui scrutent avec attention les mouvements profonds, est le mot approprié à ce stade de développement du système économique contemporain. Mais «  de quelles crises parlons-nous ? » : Celle qui est le fruit d’un système, d’une idéologie qui l’habite et dont la moindre habileté a été même de tenter de se présenter comme indépassable, « par la fin de l’histoire » ! Or, comme Max Weber, il nous semble que les connaissances d’aujourd’hui sont toujours destinées à être dépassées, surtout en sciences humaines, puisque la société se transforme constamment. Il n’y a donc aucun modèle économique qui ne doive être discuté pour être amélioré voire remplacé. Se plonger dans la pensée de Sismondi, aujourd’hui à tort bien oublié ou étudier Karl Polanyi sont autant d’apports à une réflexion contemporaine qui ne peut opposer en permanence Keynes, résumé souvent au déficit des politiques publiques et les « Chicago Boys » dont l’action auprès d’Augusto Pinochet est bien symbolique de ce « néo-libéralisme » des conservateurs américains qui s’étend encore sur le monde, malgré les crises qu’il a engendrées. Crise ? Vous avez dit : « Crise » ? Une question, un constat, mais aussi à la manière d’« hommes pensants », des pistes et des solutions que gestionnaires au sens le plus large du terme, « ceux qui s’occupent des autres et de leurs entreprises », apportent par les treize articles, ordonnés en trois dossiers thématiques de ce numéro de printemps qui ouvre une nouvelle perspective de réflexion et d’action car « il est temps de remettre la production avant la spéculation, l’investissement d’avenir avant la satisfaction du présent, l’emploi durable avant le profit immédiat ».

Crisis ? Did you say : « Crisis » ? Crisis and institutional environment, crisis and organisational anticipations and crisis and consumer behaviour, just a few of the uses of the word « crisis » ; a word which, for over four years now, for the less perspicacious, and for over thirty years, for those who have been watching the bigger picture, has been the most appropriate word for this stage of development of the contemporary economic system. But exactly « what crisis are we talking about ? ». That which is the result of a system, of an ideology which inhabits this system and of which the slightest of abilities was to try and present itself as unable to be exceeded, « by the end of the story » ! Yet, just as Max Weber stated, it seems that today’s knowledge is still destined to be exceeded, particularly in the humanities, since society is constantly undergoing transformation. There is, therefore, no economic model which should not be discussed in order to be improved, or replaced. By delving into the ideal of Sismondi, today wrongfully forgotten, or in studying Karl Polanyi, we can gain much support for contemporary reflection which cannot continuously oppose Keynes, often summarised to the deficit of public policies and the « Chicago Boys » of which the action with Augusto Pinochet is truly symbolic of this « neo-liberalism » of American conservatives which is spreading across the globe, despite the crises which it has created. Crisis ? Did you say : « Crisis » ? A question, and observation, but also in the manner of « great thinkers », solutions and alternatives which managers, in the widest sense of the term, « those who look after others and their businesses », provide through thirteen articles, collated into three thematic sections in this Spring edition which opens up new areas for reflection and action as « it is indeed time to put production before speculation, future investment before current satisfaction, sustainable employment before immediate profiteering ».

¿Crisis ? ¿Ha dicho « crisis » ? Crisis y entorno institucional, crisis y anticipaciones organizativas, y crisis y comportamiento de los consumidores son todo métricas del término « crisis », que desde hace más de cuatro años para los menos perspicaces y desde hace más de treinta para los que escudriñan atentamente los movimientos profundos, es el que se adecúa a esta fase de desarrollo del sistema económico contemporáneo. Pero « ¿de qué crisis hablamos ? » La que es fruto de un sistema, de una ideología que reina en él y cuya menor de las habilidades ha sido intentar incluso presentarse como insuperable ¡ « hasta el fin de la historia » ! O, como Max Weber, nos parece que los conocimientos de hoy están siempre destinados a ser superados, sobre todo en el ámbito de las ciencias humanas, ya que la sociedad se transforma constantemente. Por tanto, no hay ningún modelo económico sobre el que no deba deliberarse para mejorarlo e incluso sustituirlo. Sumergirse en el pensamiento de Sismondi, hoy olvidado sin razón, o estudiar a Karl Polanyi son aportaciones a una reflexión contemporánea que no puede oponer permanentemente a Keynes, resumido con frecuencia en el déficit de las políticas públicas, y a los « Chicago Boys », cuya acción ante Augusto Pinochet es muy simbólica de este « neoliberalismo » de los conservadores americanos que aún se extiende por el mundo, pese a las crisis que ha engendrado. ¿Crisis ? ¿Ha dicho « crisis » ? Una pregunta, una conclusión, pero también, al estilo de los « hombres pensantes », pistas y soluciones que aportan los gestores en el sentido más amplio del término, « los que se ocupan de los demás y de sus empresas », mediante los trece artículos ordenados en tres dossiers temáticos de este número de primavera que abre una nueva perspectiva de reflexión y de acción, ya que « ha llegado la hora de volver a situar la producción antes que la especulación, la inversión de futuro antes que la satisfacción del presente y el empleo sostenible antes que el beneficio inmediato ».

PLUDOC

PLUDOC est la plateforme unique et centralisée de gestion des bibliothèques physiques et numériques de Guinée administré par le CEDUST. Elle est la plus grande base de données de ressources documentaires pour les Étudiants, Enseignants chercheurs et Chercheurs de Guinée.

Adresse

627 919 101/664 919 101

25 boulevard du commerce
Kaloum, Conakry, Guinée

Réseaux sociaux

Powered by Netsen Group @ 2025