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Cet article témoigne d’une double réflexion de psychosociologue et de psychologue clinicienne sur la problématique d’un public dit « exclus ». Les auteures interrogent les effets d’un dispositif groupal à médiation, un atelier d’écriture au sein d’un centre d’hébergement et d’orientation, dédié à des hommes sans domicile fixe. Elles proposent un aménagement du cadre suffisant en prenant en compte le mouvement libertaire de ces sujets errants.

This article presents the combined reflections of a psychosociologist and a clinical psychologist on the problem of a “public” said to be excluded. The authors look at the effects of a mediation group setting, namely, a writing workshop within a centre providing shelter and orientation for homeless men. They propose a sufficient variation in the setting, taking into account the libertarian movement of these errant subjects.

Este artículo testimonia la doble reflexión de psicosociólogo y psicólogo clínico sobre la problemática de un público denominado “excluido”. Las autoras examinan los efectos de un dispositivo de mediación grupal, un taller de escritura en un centro de acogida y orientación para hombres sin hogar. Proponen una reorganización del marco adecuado que tenga en cuenta el movimiento libertario de estos sujetos errantes.