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Ce que la liberté doit à la vérité dans la dernière philosophie de Schelling

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2014. Ressources en ligne : Abrégé : Dans ses derniers écrits, Schelling s’attache à penser non seulement ce qu’a d’irréductible la liberté comme telle, mais aussi ce que la liberté doit à la vérité. Pour démêler les rapports entre ces deux notions centrales, il faut tenir compte de deux lois, qualifiées de « suprêmes » et auxquelles rien ne saurait échapper, la règle de Justice et la loi de l’unité de l’être et de la pensée. Trois questions s’imposent alors : 1) Tout d’abord, celle de leur possible concurrence : comment deux lois peuvent-elles être également suprêmes ? 2) Celle de leur conciliation avec la liberté : comment peuvent-elles avoir force de lois à l’égard du Dieu libre sans que sa liberté soit par là même brimée ? 3) Celle de leur origine : si ces deux lois s’imposent à l’égard de Dieu même, d’où proviennent-elles ?Abrégé : What Freedom owes to Truth in Schelling’s Positive PhilosophyIn his later writings, Schelling intends to reflect not only on the irreducibility of freedom as such, but also on what freedom owes to truth. To disentangle the relations between these two central notions, one has to take into account two laws, described as “ultimate” by Schelling and which bear on everything, the rule of Justice and the law of the unity of being and thought. Three questions ensue: 1) First of all, that of their concurrence: how can there be two ultimate laws? 2) That of their compatibility with freedom: how can they rule over a free God without constraining his very freedom? 3) Finally, that of their origin: if these two laws rule over God, from where do they originate?
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Dans ses derniers écrits, Schelling s’attache à penser non seulement ce qu’a d’irréductible la liberté comme telle, mais aussi ce que la liberté doit à la vérité. Pour démêler les rapports entre ces deux notions centrales, il faut tenir compte de deux lois, qualifiées de « suprêmes » et auxquelles rien ne saurait échapper, la règle de Justice et la loi de l’unité de l’être et de la pensée. Trois questions s’imposent alors : 1) Tout d’abord, celle de leur possible concurrence : comment deux lois peuvent-elles être également suprêmes ? 2) Celle de leur conciliation avec la liberté : comment peuvent-elles avoir force de lois à l’égard du Dieu libre sans que sa liberté soit par là même brimée ? 3) Celle de leur origine : si ces deux lois s’imposent à l’égard de Dieu même, d’où proviennent-elles ?

What Freedom owes to Truth in Schelling’s Positive PhilosophyIn his later writings, Schelling intends to reflect not only on the irreducibility of freedom as such, but also on what freedom owes to truth. To disentangle the relations between these two central notions, one has to take into account two laws, described as “ultimate” by Schelling and which bear on everything, the rule of Justice and the law of the unity of being and thought. Three questions ensue: 1) First of all, that of their concurrence: how can there be two ultimate laws? 2) That of their compatibility with freedom: how can they rule over a free God without constraining his very freedom? 3) Finally, that of their origin: if these two laws rule over God, from where do they originate?

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