Le nez de Jean-Jacques : la philosophie de l’odorat de Rousseau
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Quelle est la place de l’odorat dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau ? L’importance qu’il attribue à la dimension olfactive, tant dans les écrits théoriques ( Discours sur l’inégalité, Émile) que dans les écrits autobiographiques et romanesques, le place en contre-tendance par rapport à la pensée des Lumières, caractérisée par une dévaluation gnoséologique et éthique de l’odorat. Rousseau est parmi les rares à saisir, dans un sens nouveau et très moderne, la signification philosophique de l’odorat, qu’il insère au cœur de sa doctrine des facultés, pour expliquer la spécificité morale et sociale de l’être humain. Cet aspect ressort surtout dans le lien intime et privilégié que le nez entretient avec l’imagination.
I propose three ways to know God or the infinite spirit in Berkeley. The three ways stem from his own thought, but the first two are based on his more philosophical side, mainly in concepts such as « idea » and « sensible world », whereas the third way is based on his theological-religious side and is related to Berkeley’s evangelical activity, drawn from his time in America and his work as a dean and later as a bishop. The three ways, although different but nonetheless complementary, are based on « analogy », a central concept for finite spirits to know God.
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