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Note de lecture

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2017. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : En analysant les discours sur les sources d’énergie depuis un siècle, José Ardillo tente de démontrer que ceux-ci sont essentiellement dus à des rapports de classes. Dans une vision marxiste au final assez orthodoxe, bien que réductionniste, il tente de démontrer que les différentes énergies (pétrole, charbon, nucléaire, renouvelables) sont présentées par la classe dominante comme les seules acceptables, à un moment donné. Ces sources d’énergies ne seraient, au final, que les meilleurs vecteurs d’une rente financière pour la bourgeoisie, dans un monde capitaliste où la domination sociale pousserait à une consommation sans limite, assurant une rente sans fin. Afin de sortir d’un tel schéma où la domination d’une classe sur une autre nous entraînerait vers le pire, il rejette « l’illusion » des énergies renouvelables « en masse » et propose le retour utopique à de petites communautés autonomes, capables de limiter leurs besoins et de quitter les rapports de force du capitalisme.Abrégé : Through a historical analysis, José Ardillo tries to demonstrate how discussions on energy sources in the last century are mainly influenced by class relations. In a rather orthodox marxist way, although reductionist, he tends to demonstrate that all energies (oil, coal, nuclear and so-called « green » energies) are presented by the ruling class as the only acceptable ones, at one given time. These sources of energy should be considered, at the end of the day, as the best vehicles for the financial yield of the bourgeoisie, in a capitalist world where social dominance would promote limitess consumption, and therefore endless annuities. In order to avoid such a scheme where the domination of one class over another would lead us toward the worst, he rejects the “illusion” of an exclusive use of renewable energies and advocates an utopian return to small autonomous communities, able to limit their needs and to leave the capitalist power balances behind. Green energies are then seen only as delusional.
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En analysant les discours sur les sources d’énergie depuis un siècle, José Ardillo tente de démontrer que ceux-ci sont essentiellement dus à des rapports de classes. Dans une vision marxiste au final assez orthodoxe, bien que réductionniste, il tente de démontrer que les différentes énergies (pétrole, charbon, nucléaire, renouvelables) sont présentées par la classe dominante comme les seules acceptables, à un moment donné. Ces sources d’énergies ne seraient, au final, que les meilleurs vecteurs d’une rente financière pour la bourgeoisie, dans un monde capitaliste où la domination sociale pousserait à une consommation sans limite, assurant une rente sans fin. Afin de sortir d’un tel schéma où la domination d’une classe sur une autre nous entraînerait vers le pire, il rejette « l’illusion » des énergies renouvelables « en masse » et propose le retour utopique à de petites communautés autonomes, capables de limiter leurs besoins et de quitter les rapports de force du capitalisme.

Through a historical analysis, José Ardillo tries to demonstrate how discussions on energy sources in the last century are mainly influenced by class relations. In a rather orthodox marxist way, although reductionist, he tends to demonstrate that all energies (oil, coal, nuclear and so-called « green » energies) are presented by the ruling class as the only acceptable ones, at one given time. These sources of energy should be considered, at the end of the day, as the best vehicles for the financial yield of the bourgeoisie, in a capitalist world where social dominance would promote limitess consumption, and therefore endless annuities. In order to avoid such a scheme where the domination of one class over another would lead us toward the worst, he rejects the “illusion” of an exclusive use of renewable energies and advocates an utopian return to small autonomous communities, able to limit their needs and to leave the capitalist power balances behind. Green energies are then seen only as delusional.

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