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Une caïda, mémoire d’architectures coloniales en Oranie

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2025. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : The history of colonial architecture in Oran and Oranie is partly associated with the name of a female figure called Halima, or more precisely caïda Halima. Her fame is such that we speak of the house of caïda Halima, the mosque of caïda Halima, the farm of caïda Halima… In the difficult context of colonization, these constructions naturally raised questions. Our initial investigations revealed that they had more to do with the personality of this woman who became the daughter-in-law of a Bach-Aghas and Aghas family. As the only caïda in all of colonial Algeria, the title of caïd is essentially a male preserve. For the purposes of this article, we will focus our attention on the real estate she managed in colonial and indigenous society, which was fundamentally male-dominated. No research has been devoted to her in its entirety.Abrégé : L’histoire de l’architecture coloniale à Oran et en Oranie est en partie associée au nom d’une figure féminine dénommée Halima et plus précisément caïda Halima. Sa renommée est telle que l’on parle souvent de « la maison de caïda Halima », « la mosquée de caïda Halima », « la ferme de caïda Halima »… Dans le contexte spécifique de la colonisation, ces constructions ont naturellement suscité des questionnements. Nos premières investigations nous ont appris qu’elles seraient davantage liées à la personnalité de cette femme – devenue belle-fille d’une famille de Bach-Aghas et d’Aghas. Unique caïda de toute l’Algérie coloniale, son statut interroge – quand on sait que par essence que le titre de caïd est exclusivement masculin. Cet article portera sur le patrimoine immobilier qu’elle a dirigé dans la société coloniale et indigène fondamentalement masculine. Aucune recherche ne lui étant consacrée dans son intégralité.
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The history of colonial architecture in Oran and Oranie is partly associated with the name of a female figure called Halima, or more precisely caïda Halima. Her fame is such that we speak of the house of caïda Halima, the mosque of caïda Halima, the farm of caïda Halima… In the difficult context of colonization, these constructions naturally raised questions. Our initial investigations revealed that they had more to do with the personality of this woman who became the daughter-in-law of a Bach-Aghas and Aghas family. As the only caïda in all of colonial Algeria, the title of caïd is essentially a male preserve. For the purposes of this article, we will focus our attention on the real estate she managed in colonial and indigenous society, which was fundamentally male-dominated. No research has been devoted to her in its entirety.

L’histoire de l’architecture coloniale à Oran et en Oranie est en partie associée au nom d’une figure féminine dénommée Halima et plus précisément caïda Halima. Sa renommée est telle que l’on parle souvent de « la maison de caïda Halima », « la mosquée de caïda Halima », « la ferme de caïda Halima »… Dans le contexte spécifique de la colonisation, ces constructions ont naturellement suscité des questionnements. Nos premières investigations nous ont appris qu’elles seraient davantage liées à la personnalité de cette femme – devenue belle-fille d’une famille de Bach-Aghas et d’Aghas. Unique caïda de toute l’Algérie coloniale, son statut interroge – quand on sait que par essence que le titre de caïd est exclusivement masculin. Cet article portera sur le patrimoine immobilier qu’elle a dirigé dans la société coloniale et indigène fondamentalement masculine. Aucune recherche ne lui étant consacrée dans son intégralité.

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