Les 100 mots de la Shoah
Type de matériel :
TexteLangue : français Détails de publication : Presses Universitaires de France,
2016.
Ressources en ligne : Abrégé : La Shoah occupe une place centrale dans nos sociétés, tant d’un point de vue médiatique que politique ou mémoriel.Il existe pourtant un gouffre entre la manière dont les historiens l’étudient et la manière dont le grand public en parle. L’objectif de ce livre est donc de définir avec la plus grande rigueur scientifique des termes et des notions qui, à bien des égards, sont «piégés». Par exemple, qui sait que, depuis cinquante ans, les historiens utilisent l’expression «centre de mise à mort» plutôt que «camp d’extermination», contradiction dans les termes puisqu’un camp est destiné à regrouper une population alors que l’extermination est un processus immédiat ?Ces 100 mots de la Shoah ont donc pour but non seulement d’éclairer certains aspects historiques, de préciser des notions et de faire le point sur l’historiographie, mais aussi de présenter des exemples concrets (pays, lieux) en abordant des personnes (bourreaux comme victimes) et des œuvres (témoignages comme fictions).
La Shoah occupe une place centrale dans nos sociétés, tant d’un point de vue médiatique que politique ou mémoriel.Il existe pourtant un gouffre entre la manière dont les historiens l’étudient et la manière dont le grand public en parle. L’objectif de ce livre est donc de définir avec la plus grande rigueur scientifique des termes et des notions qui, à bien des égards, sont «piégés». Par exemple, qui sait que, depuis cinquante ans, les historiens utilisent l’expression «centre de mise à mort» plutôt que «camp d’extermination», contradiction dans les termes puisqu’un camp est destiné à regrouper une population alors que l’extermination est un processus immédiat ?Ces 100 mots de la Shoah ont donc pour but non seulement d’éclairer certains aspects historiques, de préciser des notions et de faire le point sur l’historiographie, mais aussi de présenter des exemples concrets (pays, lieux) en abordant des personnes (bourreaux comme victimes) et des œuvres (témoignages comme fictions).




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