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RésuméD’une façon générale, la communication se présente aujourd’hui comme largement discréditée. Le formidable engouement qu’elle a suscité ces dernières années s’est actuellement tari, transformé en doute sinon en ressentiment tenace. Accusée de manipuler les individus et les masses – et ce, quel que soit le domaine d’application : le politique, le médiatique, l’économique, à ce jour intimement articulés –, elle réclame à cor et à cri une éthique digne de ce nom. Mais peut-elle être (ou non) éthique (morale) en soi ? Paradoxalement, au su de sa nature intrinsèque, la réponse nous apparaît définitivement négative... Dès lors, comment l’utiliser d’une façon intègre, honnête, acceptable ?

Generally, the communication is shown today like largely discre-dited. The phenomenal passion which it caused until these last years currently is dried up, transformed into doubt if not tough resentment. Shown to handle the individuals and the groups – and this, some is the applicability : the policy, the media one, the economic one, of the remainder to date closely articulated –, it claims with horn and cries an ethics worthy of this name. But can it be (or not) ethical (morals) in oneself? Paradoxically, the answer appears negative to us...