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Quand des sans-logis habitent ensemble : modes de résidence et formes de lien social

Par : Contributeur(s) : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2004. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : RésuméLa pauvreté limite considérablement le choix d’une solution au problème du manque de logement, mais cela ne signifie pas que les sans-abri aient perdu toute capacité à réinvestir des lieux, même si les formes paraissent hors normes. L’observation de divers modes de résidence de sans-logis en collectifs permet de mettre en évidence une palette d’alternatives possibles produisant diverses formes d’insertion. Des squats « sans gouvernance », des formules d’habiter qui s’appuient sur des collectifs de « pairs », d’autres qui incluent des médiateurs non professionnels, enfin des formules d’habiter portées par des professionnels en appellent à un « sentiment du collectif » comme condition de possibilité d’un accompagnement qui ne rompe pas pour autant avec l’exigence d’une forte autonomie individuelle.Abrégé : Poverty hugely restricts the choice of an answer to housing shortage, but that does not mean homeless persons have lost all capacity to make a place habitable, even if their forms seem outside of standard norms. Observation has shown that the homeless adopt diverse modes of shared residence, promoting new patterns of social integration. Some homeless « peer groups » live together in a squat « without governance ». Other squats rely on non-professional mediators. A last alternative relies on social workers appealing to a « community feeling » as a necessary prerequisite for possible follow-up work which would nevertheless remain respectful of the requirement for strong personal autonomy.Abrégé : ResumenLa pobreza limita considerablemente la posibilidad de elegir una solución al problema del alojamiento, pero esto no significa que los sin hogar hayan perdido toda capacidad de existir y de vivir en el espacio urbano aunque la manera de hacerlo pueda parecer fuera de la norma. La observación de diferentes formas de alojamiento colectivo de estas personas nos permite poner en evidencia una paleta de alternativas posibles que producen diferentes formas de inserción social: Squatters (« Ocupas ») sin organización, maneras de habitar un lugar basadas en colectivos formados de « pares », otras basadas en la acción de mediadores no profesionales, y por fin maneras de habitar incitadas o apoyadas por profesionales. Todas estas posiblidades implican un « sentimiento colectivo », condición indispensable que haga posible un acompañamiento social que no esté reñido con las exigencias de autonomia individual.
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RésuméLa pauvreté limite considérablement le choix d’une solution au problème du manque de logement, mais cela ne signifie pas que les sans-abri aient perdu toute capacité à réinvestir des lieux, même si les formes paraissent hors normes. L’observation de divers modes de résidence de sans-logis en collectifs permet de mettre en évidence une palette d’alternatives possibles produisant diverses formes d’insertion. Des squats « sans gouvernance », des formules d’habiter qui s’appuient sur des collectifs de « pairs », d’autres qui incluent des médiateurs non professionnels, enfin des formules d’habiter portées par des professionnels en appellent à un « sentiment du collectif » comme condition de possibilité d’un accompagnement qui ne rompe pas pour autant avec l’exigence d’une forte autonomie individuelle.

Poverty hugely restricts the choice of an answer to housing shortage, but that does not mean homeless persons have lost all capacity to make a place habitable, even if their forms seem outside of standard norms. Observation has shown that the homeless adopt diverse modes of shared residence, promoting new patterns of social integration. Some homeless « peer groups » live together in a squat « without governance ». Other squats rely on non-professional mediators. A last alternative relies on social workers appealing to a « community feeling » as a necessary prerequisite for possible follow-up work which would nevertheless remain respectful of the requirement for strong personal autonomy.

ResumenLa pobreza limita considerablemente la posibilidad de elegir una solución al problema del alojamiento, pero esto no significa que los sin hogar hayan perdido toda capacidad de existir y de vivir en el espacio urbano aunque la manera de hacerlo pueda parecer fuera de la norma. La observación de diferentes formas de alojamiento colectivo de estas personas nos permite poner en evidencia una paleta de alternativas posibles que producen diferentes formas de inserción social: Squatters (« Ocupas ») sin organización, maneras de habitar un lugar basadas en colectivos formados de « pares », otras basadas en la acción de mediadores no profesionales, y por fin maneras de habitar incitadas o apoyadas por profesionales. Todas estas posiblidades implican un « sentimiento colectivo », condición indispensable que haga posible un acompañamiento social que no esté reñido con las exigencias de autonomia individual.

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