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Intégrer dans le dispositif formatif le langage photographique et plus particulièrement l’apport de Roland Barthes comme espace potentiel de métissage est resté longtemps une préoccupation intellectuelle, à la fois ludique et créative. Comment sa pensée vient s’immiscer dans le monde des travailleurs sociaux ? C’est à partir des notions de punctum, de signifiance que le texte rappelle combien l’acte photographique rejoint, éclaire la rencontre, la relation éducative ou formative, la clinique de la relation éducative ou formative.Un peu dans la ligne de Jacques Ladsous, la photographie permet, ici, de métaphoriser le travail social et «  La chambre claire » de Roland Barthes sert de moteur à cette métaphorisation.

Integrating the language of photography, and more particularly the contribution of Roland Barthes as a potential space for blending disciplines, has long been an intellectual concern, both playful and creative. How does his thinking enter the world of social workers? It is from the notions of punctum, of significance that the text reminds us how much the photographic act joins and illuminates the encounter, the educational or formative relationship, the clinic of the educational or formative relationship.Somewhat in the line of Jacques Ladsous, photography allows, here, to metaphorize social work. Roland Barthes’ Camera Lucida serves as a motor for this metaphorization.