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Grand-mère y croyait 1500 superstitions, croyances et coutumes de nos provinces ['Le Corfec, Jean-Michel']

Par : Contributeur(s) : Type de matériel : TexteTexteÉditeur : Editions Sud Ouest 2010Description : pType de contenu :
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  • 9782817700557
Sujet(s) :
Ressources en ligne : Abrégé : Il y a cent ans – c’était hier ! –, dans la France paysanne et profondément croyante d’alors, nos grands-parents respectaient la tradition ancestrale avec son lot de coutumes et de croyances. Les superstitions leur étaient intimement liées.Le paysan subissait les aléas de la vie sans toujours les comprendre. Son monde était manichéen : il y avait le bien et le mal, Dieu et le démon avec ses suppôts qu’étaient les mauvais esprits. Éviter le malheur, le malheur supplémentaire, était primordial : pour sa famille, pour ses récoltes, pour son bétail, et éventuellement pour soi. Pour cela, le paysan bénéficiait de l’expérience de ses ancêtres, transmise de bouche à oreille, et s’en accommodait, même s’il fallait pour cela composer avec le sacré et le païen.Dans cet ouvrage, l’auteur a rassemblé 1 500 croyances, coutumes et superstitions, de toutes les régions de France, ayant trait à la vie quotidienne, à la naissance, au mariage, à la maladie, à la mort, aux fêtes… Elles font partie de notre culture, et nombre d’entre elles perdurent encore aujourd’hui : se marier en mai porte malheur ; lorsque leur maître meurt, les abeilles mourront aussi si leur ruche ne porte pas le deuil ; il ne faut jamais poser le pain à l’envers, etc.
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Il y a cent ans – c’était hier ! –, dans la France paysanne et profondément croyante d’alors, nos grands-parents respectaient la tradition ancestrale avec son lot de coutumes et de croyances. Les superstitions leur étaient intimement liées.Le paysan subissait les aléas de la vie sans toujours les comprendre. Son monde était manichéen : il y avait le bien et le mal, Dieu et le démon avec ses suppôts qu’étaient les mauvais esprits. Éviter le malheur, le malheur supplémentaire, était primordial : pour sa famille, pour ses récoltes, pour son bétail, et éventuellement pour soi. Pour cela, le paysan bénéficiait de l’expérience de ses ancêtres, transmise de bouche à oreille, et s’en accommodait, même s’il fallait pour cela composer avec le sacré et le païen.Dans cet ouvrage, l’auteur a rassemblé 1 500 croyances, coutumes et superstitions, de toutes les régions de France, ayant trait à la vie quotidienne, à la naissance, au mariage, à la maladie, à la mort, aux fêtes… Elles font partie de notre culture, et nombre d’entre elles perdurent encore aujourd’hui : se marier en mai porte malheur ; lorsque leur maître meurt, les abeilles mourront aussi si leur ruche ne porte pas le deuil ; il ne faut jamais poser le pain à l’envers, etc.

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