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No fear of the dark : Une sociologie du Heavy Metal

Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : La Découverte, 2024. Ressources en ligne : Abrégé : Dans ce livre très original, Hartmut Rosa analyse les ressorts, les ambivalences et les potentialités d’un phénomène culturel parmi les plus énigmatiques des dernières décennies. De l’Indonésie au Brésil en passant par la Scandinavie, le Japon ou la Mongolie, le metal est l’une des musiques les plus populaires au monde bien qu’elle soit diffusée, jouée et écoutée en dehors des réseaux médiatiques dominants. Grand fan de metal et musicien amateur, le philosophe allemand produit ici une sociologie stupéfiante de ce sous-genre musical dont la profondeur et l’ambition sont souvent incomprises. Il ne se contente pas de montrer qui écoute du metal – principalement des hommes, plus sociables et sensibles que la moyenne, souvent issus des périphéries, dont le rapport à la musique est au centre de leur vie. Il cherche surtout à comprendre pourquoi on en écoute, et ce que cela fait à ses auditeurs. À la différence de la musique pop, ou de celles qui cherchent les combinaisons les plus harmonieuses, le metal, lui, ne refoule rien. L’aliénation, les convulsions de notre existence, la mort : tout cela est palpable, audible, présent, dans les textes et les visuels. Mais elles n’ont pas le dernier mot. À la corruption du monde, la musique répond par son chant, ses sonorités. Elle porte ainsi également une promesse, celle d’une résonance singulière avec le monde, qui, si l’on parvient à s’en saisir, ouvre sur une vibration existentielle que la plupart des autres aspects de nos vies modernes éludent ou négligent.
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Dans ce livre très original, Hartmut Rosa analyse les ressorts, les ambivalences et les potentialités d’un phénomène culturel parmi les plus énigmatiques des dernières décennies. De l’Indonésie au Brésil en passant par la Scandinavie, le Japon ou la Mongolie, le metal est l’une des musiques les plus populaires au monde bien qu’elle soit diffusée, jouée et écoutée en dehors des réseaux médiatiques dominants. Grand fan de metal et musicien amateur, le philosophe allemand produit ici une sociologie stupéfiante de ce sous-genre musical dont la profondeur et l’ambition sont souvent incomprises. Il ne se contente pas de montrer qui écoute du metal – principalement des hommes, plus sociables et sensibles que la moyenne, souvent issus des périphéries, dont le rapport à la musique est au centre de leur vie. Il cherche surtout à comprendre pourquoi on en écoute, et ce que cela fait à ses auditeurs. À la différence de la musique pop, ou de celles qui cherchent les combinaisons les plus harmonieuses, le metal, lui, ne refoule rien. L’aliénation, les convulsions de notre existence, la mort : tout cela est palpable, audible, présent, dans les textes et les visuels. Mais elles n’ont pas le dernier mot. À la corruption du monde, la musique répond par son chant, ses sonorités. Elle porte ainsi également une promesse, celle d’une résonance singulière avec le monde, qui, si l’on parvient à s’en saisir, ouvre sur une vibration existentielle que la plupart des autres aspects de nos vies modernes éludent ou négligent.

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