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Si l’école, en tant qu’institution sociale, est devenue l’un des lieux où s’expérimente le « rapport au savoir », celui qui y est délivré et enseigné est loin d’épuiser ce que recouvre et ce qu’implique, pour un sujet parlant, ce que c’est que savoir. Car, de savoir, il y en a plus d’un et ils ne font pas toujours bon ménage. Le seul savoir dit scolaire – celui des apprentissages et des études – éclaire encore moins les positions subjectives à l’endroit du savoir et que seule met au jour la division expérimentée de la division subjective dans l’expérience psychanalytique : amour, déni, refoulement, rejet, horreur, désir de savoir et désir du savoir.

If the School, as a social institution, has become one of the places where the « relation to knowledge » is experienced, the one who is freed and taught there is far from exhausting what, for a speaking subject, covers and is involved in what knowledge is. Because there is more than one knowledge, and they do not always go well together. The only knowledge, scholastic so-called – that of learning and studies – sheds even less light on subjective positions with regard to knowledge, and it only brings to light the experience of subjective division in the psychoanalytic experience : love, denial, repression, rejection, horror, desire to know and desire for knowledge.