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L’auteur répond à l’article de Brian Feldman en revenant sur l’analyse de la relation mère/enfant et postule que la relation au maternel vécue par le petit Carl Gustav aurait pu être teintée d’une dimension de fusion, contrastant avec les expériences d’abandon décrites par B. Feldman. La capacité à être seul développée par Winnicott vient appuyer l’argumentation. La problématique maternelle est décrite en terme d’animus archaïque, fondée sur un vécu pathologique de relation à l’homme.

The author replies to the article by Brian Feldman, referring to the analysis of the mother/child relationship and postulates that the relationship to the maternal experienced by little Carl-Gustav could have been tinged with a dimension of fusion, constrasting with the experiences of abandonment described by B. Feldman. The ability to be alone developed by Winnicott reinforces the argumentation. The maternal problematic is described in terms of archaic animus, based on a pathological experience of relationship to man.