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RésuméL’auteur introduit la passion de couple, distincte de la relation fusionnelle, comme une opportunité offerte à l’être humain, un rêve de relation où chacun n’existera que par l’autre. Cet état bien évidemment ne peut qu’être critiqué par la société et ses représentants dont certains intervenants « psy », du fait que la passion est égoïste et dangereuse. Effectivement la passion ne peut souvent n’être que brève et des conséquences pathogènes sont fréquentes : soit par les manœuvres destinées à prolonger une relation déjà morte, ou par le vide existentiel qui guette celui qui n’est plus en passion. Mais est-ce notre rôle de juger ceux qui s’y risquent ?

The author introduces couple passion that he differentiates from fusion, as an opportunity gave to human being, a dream of relation where each one exists only by/trough the other. This status is criticized by society and by its representatives as “psycho”, because passion is often short and its consequences are often pathogenic trough maneuvers aimed to keep an already dead relation or because the existential vacuum that threats who is not anymore in passion. But, do we have to judge people who choose passion?