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Cet article propose une écoute amplificatrice de l’ouvrage Croire aux fauves de l’anthropologue française Nastassja Martin. À partir du déploiement de la synchronicité qui se trouve au cœur de ce récit et de la régression qui lui fait suite, ce travail ouvre sur d’autres temporalités, collectives, du temps du mythe animiste à celui de l’Anthropocène.

This essay suggests an amplified listening to the book Croire aux fauves by French anthropologist Nastassja Martin. Starting from the formation of synchronicity found in the heart of this account, and the regression that follows it, this work opens to other, collective temporalities, from the time of the animist myth to that of the Anthropocene.