La « rêverie sollicitée » en séance, et le psychanalyste éboueur
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L’auteur défend, dans cet article, l’importance de la dimension de la rêverie chez l’analyste, ainsi que le recours au rêve éveillé dans un cadre psychanalytique, et en montre les effets dans des problématiques archaïques touchant l’image corporelle. Deux vignettes cliniques montrent comment ce recours dans la cure permet au Moi corporel, ce premier moi dans lequel se construisent le corps et l’espace, mais aussi le visage, d’évoluer au fur et à mesure des stades de la cure. La rêverie sollicitée en séance permet d’aller jusqu’au « Moi-matière ».
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