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RésuméCinéma et psychanalyse sont abordés et rapprochés à partir de la plus petite ressource possible : les sept minutes du court métrage de Duchamp, Anemic Cinema, soutenus par les regards portés sur des œuvres majeures, le Grand verre et Etant donnés ; l’écran blanc du rêve, hypothèse du psychanalyste Lewin se référant à l’image de l’aplatissement du sein chez le nouveau-né. Des figures insolites telles que « puissance-timide » et « inframince » sont mises en valeur, ouvrant la voie à une pratique politique et morale où psychanalyse et cinéma pourraient œuvrer de conserve sous le signe d’un « orgasme de bataille » (Musil).