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À partir de la métaphore de « corps familial », l’auteur propose quelques hypothèses invitant à « faire travailler » ensemble les concepts de la thérapie familiale et les théories de l’adolescence. Le pubertaire impliquerait une sorte d’autonomie des organes génitaux, une fragmentation, phénomènes mis en parallèle avec les risques liés à l’autonomisation d’un membre de la famille au moment de son adolescence. L’adolescence est ainsi entendue comme une épreuve pour le sujet et pour le corps familial, nécessitant un travail de liaison… Est particulièrement abordé ici le vécu parental de perte.

The “family body” confronted by pubertyUsing the “family body” metaphor, the author suggests a number of hypotheses in order to bring family therapy concepts and theories of adolescence to work together. Puberty involves a kind of autonomy of the genitalia and fragmentation, which phenomena can be compared with the risks related to empowerment of a member of the family going through adolescence. Adolescence is thus understood to be a trial for the subject and the family body, requiring some linking up work… Parental mourning through the experience of loss is given special attention.