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Positions and points of contention in the recent « querelle allemande » surrounding Dirk Oschmann’s study Die Erfindung des Ostens (2023) are anticipated in Lutz Seiler’s novel Stern 111 (2020). The novel distributes the reciprocal back-projections of East and West across a dual narrative position: while the student son sets off for his hometown of Gera the day after the fall of the Wall, striving for a career as a poet and actively participating in the squatter scene in East Berlin, his parents seek their fortune in the West (Germany and California). In dense milieus, with allegorical Details on duty (James Wood) and with the claim of a ‹ different › post-reunification story, Seiler’s novel creates a panorama of intersecting images of East and West.

Le roman de Lutz Seiler Stern 111 (2020) a anticipé les controverses de la dernière « querelle allemande » suscitées par l’étude de Dirk Oschmann L’Est, une invention ouest-allemande (2023). Dans son roman, Seiler répartit les diverses représentations de l’Est et de l’Ouest sur une double perspective narrative : tandis que le fils, étudiant et poète, décidé à entamer une carrière d’écrivain, quitte sa ville natale Gera pour s’engager activement dans les milieux des squatters à Berlin-Est, ses parents cherchent leur bonheur à l’Ouest (Allemagne et Californie). Le roman trace un tableau très dense de ces milieux, avec des Details on duty allégoriques (James Wood), et se propose de dresser, dans la période qui suivit le tournant de 1989, un autre panorama des représentations croisées de l’Est sur l’Ouest et inversement.