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RésuméLe texte envisage l’oppotunité d’un atelier médiatisé (atelier musique) dans l’accueil de jeunes migrants, au regard des enjeux psychiques liés aux traumatismes, à L’ouverture d’une aire possible où se nouent et se dénouent les éléments des cultures. L’atelier est aussi en décalage et en rupture avec la vie institutionnelle (qui vise l’adaptation et est pressée par le temps, le temps politique aussi), et peut aussi se placer dans la logique d’une solution de continuité. Le texte évoque quelques caractéristiques psychopatholigiques liées à la migration, les aspects clivant voire hallucinatoires face à une nouvelle réalité dont il s’agirait pour le migrant de ne rien méconnaître.