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À partir du rôle des affects dans la transcription narrative, nous abordons la représentation mentale des événements interactifs et la capacité de rêverie induisant la narration. L’observation des interactions affectives des parents et du bébé pourrait permettre l’émergence de nos perceptions d’actions motrices non agies, autorisant par notre empathie, la mise en récit de la rêverie parentale, et laissant la place à l’intersubjectivité.

Drawing on the role of affects in the narrative transcription, we will discuss the mental representation of interacting events and the ability for daydreaming to lead to narration. Observing the affective interacting of parents and baby could enable us to perceive the non-acted motor actions, enabling, via our empathy, the narration of parental daydreaming and leaving room for intersubjectivity.