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Cet article propose de lire les grands romans de Kafka non comme l’expression d’une subjectivité, mais comme la présentation de l’Autre auquel se rapporte cette subjectivité. Cet Autre n’est pas constitué par une divinité spécifiée, ni par une configuration sociale particulière. L’absurde kafkaïen renvoie plutôt à un univers – celui de la modernité, celui de « l’enfant généralisé » – où toute tentative d’accéder à un sens se trouve disqualifiée.

This article proposes to read the great novels of Kafka rather than a subjective expression, but as the presentation of the Other which this subjectivity. Other This is not itself a deity specified, or a particular social setting. The Kafkaesque absurdity instead referring to a world – that of modernity, that of the child « widespread » – where any attempt to access a sense is disqualified.