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On peut constater cliniquement que le symptôme n’apparaît pas toujours en premier lieu. C’est l’angoisse qui amène le sujet à consulter. L’élaboration du symptôme s’effectuera dans un second temps en s’appuyant sur les moments d’angoisse. Cette prise en compte de l’angoisse peut permettre que se reconstruise le symptôme par l’intermédiaire du fantasme. Deux récits cliniques en rendront compte.

It can be observed clinically that the symptom doesn’t always appear in the first place. What brings the subject to consult is the feeling of anguish. Only then can the symptom be worked out. Anguish must be taken into account for the symptom to be reconstructed through fantasy. Two clinical cases support this theory.