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L’événement de la pandémie de la Covid-19 nous a obligés à reconsidérer différents aspects de l’investissement de la vie en politique, tels que les mesures d’exception, les vulnérabilités différentielles et la mutation écologique. En même temps, la question de la finitude est reposée, nous contraignant à penser à d’autres modalités d’existence et à de nouvelles formes de subjectivation. Entre clinique et politique, il y a donc l’urgence de construire une nouvelle réflexion sur bios dans une perspective à la fois immanente et planétaire.

The event of the Covid-19 pandemic forced us to reconsider different ways of investing life in politics, such as exceptional measures, differential vulnerabilities, and ecological mutation. At the same time, the question of finitude is repositioned, imposing us to think other modalities of existence and new forms of subjectivation. Between clinical and political, there is therefore an urgent need to construct a new reflection on the bios from a perspective both immanent and planetary.