De la pulsion de mort dans la dyade mère-enfant
Type de matériel :
- dyade mère-enfant
- la mère morte
- André Green
- le deuil
- pulsion de mort
- Pulsion de vie
- la mélancolie
- dyade mère-enfant
- la mère morte
- André Green
- le deuil
- pulsion de mort
- Pulsion de vie
- la mélancolie
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- le deuil
- André Green
- pulsion de mort
- la mère morte
- Pulsion de vie
- dyade mère-enfant
- mother-child dyad
- melancholia
- Life drive
- the dead mother
- death drive
- mourning
- André Green
- mother-child dyad
- melancholia
- Life drive
- the dead mother
- death drive
- mourning
- André Green
- death drive
- mourning
- André Green
- melancholia
- the dead mother
- Life drive
- mother-child dyad
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The dyad can be a living space for the mother and baby, just as it can be a place for exchanges of deadly destructiveness. It is in the first exchanges and interactions that the life and death drives become intertwined. The initially fused dyad gradually opens up to the transitional object and space as development progresses. In this transitional space, which is rooted in the bond with the mother, the subject opens up to creativity, which is embedded in culture. We hypothesize that maternal rejection can only reinforce the death drive in the child, thereby stifling the child’s live force. Maternal hostility leads to a disinvestment in oneself and a feeling of inner insecurity. Our study allows us to explore the psychic consequences of a dead mother in the Greenian sense, both during her lifetime and post-mortem.
La dyade peut être un lieu de vie pour la mère et le bébé comme elle peut être un lieu d’échanges de destructivité mortifère. C’est dans les premiers échanges et les premières interactions que s’intriquent les pulsions de vie et de mort. La dyade au début fusionnelle s’ouvre au fur et à mesure du développement sur le transitionnel en tant qu’objet et espace. Dans ce transitionnel qui s’enracine dans le lien à la mère, le sujet s’ouvre à la créativité qui s’inscrit dans la culture. Nous posons l’hypothèse que le rejet maternel ne peut que renforcer la pulsion de mort chez l’enfant, ce qui fige l’élan vital chez ce dernier. L’hostilité maternelle entraîne un désinvestissement de soi et un sentiment d’insécurité intérieure. Notre étude nous permet d’explorer les conséquences psychiques d’une mère morte au sens greenien, de son vivant et post-mortem.
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