La souffrance en perspective
Type de matériel :
TexteLangue : français Détails de publication : 2006.
Ressources en ligne : Abrégé : L’auteur distingue la souffrance névrotique – valeur attachée à l’expérience par la personne elle-même – des douleurs existentielles inévitables et nécessaires. S’appuyant sur « Le scandale du mal » de Paul Ricoeur et la perspective bouddhiste sur la thérapie, il montre comment la guérison de la névrose implique une clarification de l’espace intersubjectif qui implique l’entrée dans une forme de solitude. Cette guérison est une libération spirituelle qui entraîne à la joie. Dans cette optique le thérapeute est aussi un ami et un guide qui a déjà pour lui-même entrepris ce chemin.Abrégé : Suffering put into perspective The author makes a distinction between neurotic suffering – a value ascribed to the experience by the person his/herself – and the unavoidable and necessary existential pains. Relying on “Le scandale du mal” by Paul Ricoeur and the Buddhist perspective on therapy, he demonstrates how recovery from the neurosis implies a clarification of the inter-subjective space, which involves entry into a type of solitude. This recovery is a spiritual liberation which leads to joy. In this light the therapist is also a friend and a guide, who has already travelled this path.
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L’auteur distingue la souffrance névrotique – valeur attachée à l’expérience par la personne elle-même – des douleurs existentielles inévitables et nécessaires. S’appuyant sur « Le scandale du mal » de Paul Ricoeur et la perspective bouddhiste sur la thérapie, il montre comment la guérison de la névrose implique une clarification de l’espace intersubjectif qui implique l’entrée dans une forme de solitude. Cette guérison est une libération spirituelle qui entraîne à la joie. Dans cette optique le thérapeute est aussi un ami et un guide qui a déjà pour lui-même entrepris ce chemin.
Suffering put into perspective The author makes a distinction between neurotic suffering – a value ascribed to the experience by the person his/herself – and the unavoidable and necessary existential pains. Relying on “Le scandale du mal” by Paul Ricoeur and the Buddhist perspective on therapy, he demonstrates how recovery from the neurosis implies a clarification of the inter-subjective space, which involves entry into a type of solitude. This recovery is a spiritual liberation which leads to joy. In this light the therapist is also a friend and a guide, who has already travelled this path.




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