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Apartir de cette métaphore «le dévoilement est un acte par lequel est mis plus ou moins en lumière ce qui est plus ou moins dans l’ombre », je prends comme hypothèse que, dans toute relation il y a du dévoilement de part et d’autre et qu’il est spécifique et singulier dans la relation thérapeutique. En référence à Buber, j’invite le Gestalt-thérapeute à s’ouvrir aux questions qui adviennent au cours d’une relation dialogale en se plaçant successivement du côté de l’Autre, le client, du côté du Gestalt-thérapeute, et dans la relation Je-Tu. Puis j’esquisse alors une fiche d’observation en fonction de différents auteurs sur la question du dévoilement et l’existentiel.

In the Shadow of Self-Disclosure Starting from the metaphor: “Self-disclosure is an action through which that which is more or less in the shadow is brought more or less into the light”, the author takes as a hypothesis that in every relationship there is some self-disclosure and it is very unique and special in the therapeutic relationship. In reference to Buber, he invites Gestalt therapists to open themselves to the questions which may arise during a dialogical relationship by placing themselves successively on the side of the client, on the side of the Gestalt therapist, and finally within the I-Thou relationship. He then presents an observation sheet based on different authors who address the question of self-disclosure and existentialism.