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L’auteure rend hommage aux larmes et nous embarque dans une croisière sur le fleuve Larme dont elle remonte les affluents jusqu’à leurs sources. Chemin faisant, nous découvrons qu’il y a trois sortes de larmes, de compositions chimiques différentes, pour des fonctions spécifiques à chacune. Nous apprenons pourquoi les larmes des femmes coulent davantage que celles des hommes, l’influence de l’âge, et même les larmes de crocodile et les larmes de tigre ont droit à une halte ! Larmes qui s’introduisent chez l’auteure, la thérapeute, ses patients, dans la relation thérapeutique, pour le bienfait de tous, si elles sont accueillies avec tendresse !