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Improving of wellbeing and quality of life in people with dementia is conditioned by the quality of the management of behavioral and psychological symptoms. In the latter, informal non pharmacological care occupies a prominent place but its lack of formalization makes its use more complex by the care teams. We propose a non systematic review of guidelines and recommendations for good professional practice. The results allowed us to draw up an inventory of relational strategies and to collect the essential elements to be taken into account in the development of a non-medicinal intervention. It appears that these elements concern both aspects relating to the person (needs, identity, capacities) and the context of the intervention (circumstances of onset, type of symptoms, feasibility of the intervention). We propose to integrate these elements within the same clinical reasoning to orient the care teams towards the most effective non-drug support strategy. These considerations invite further research on the specific characteristics of the different support strategies and question the priorities in terms of training for caregivers working with this population.

L’amélioration du bien-être et de la qualité de vie des personnes âgées souffrant de troubles neurocognitifs est conditionnée à la qualité de la prise en charge de leurs troubles du comportement. Dans cette dernière, l’accompagnement non médicamenteux informel occupe une place de choix mais son absence de formalisation complexifie son utilisation par les équipes soignantes. Nous proposons une revue non systématique des guides et recommandations de bonne pratique professionnelle. Les résultats nous ont permis de dresser un inventaire des stratégies relationnelles et de recueillir les éléments essentiels à prendre en compte dans l’élaboration d’une intervention non médicamenteuse. Il apparaît que ces éléments concernent tant des aspects relatifs à la personne (besoins, identité, capacités) qu’au contexte de l’intervention (circonstances d’apparition, type de symptômes, faisabilité de l’intervention). Nous proposons d’intégrer ces éléments au sein d’un même raisonnement clinique afin d’orienter les équipes soignantes vers la stratégie d’accompagnement non médicamenteux qui sera la plus à même d’être efficace. Ces considérations invitent à poursuivre la recherche sur les caractéristiques spécifiques des différentes stratégies d’accompagnement et interrogent les priorités en termes de formation des soignants intervenant auprès de cette population.