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La supervision n’est pas neutre quand elle engage des processus transférentiels et contre-transférentiels devant être décodés pour savoir ce qui se joue dans l’implication au sein des champs de la formation en travail social. Pour ce faire, il me parait intéressant d’aborder la question au regard de deux angles de lecture : le savoir comme bouée de sauvetage et la question du contre-transfert. Dans ces deux espaces, ils y circulent alors la parole et le silence dans un cadre contenant et fiable permettant un jeu de variables à condition de savoir ce que l’on bouge et pourquoi on le bouge.

The supervision is not neutral when it launches transference and countertransference processes that must be decoded to know what takes place in the implication within the fields of social work training. To do so, I believe it would be interesting to approach the question in view of the two angles of reading: the knowledge as the lifebuoy and the question of countertransference. Circulating in these two spaces, there is the voice and the silence in a containing and reliable frame allowing a variable game as long as we know what we move and why we move it.