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La Grande Guerre n’a pas fini de nous interroger. Sur le plan historique comme sur le plan maçonnique. Afin de comprendre ce cataclysme, il nous faire l’inventaire sommaire des facteurs de déshumanisation, importants, mais sans doute hypertrophiés par une école historique dominante, et les facteurs d’humanisation, bien réels. Puis, du fait de l’orientation institutionnelle retenue pour le centenaire, en gros une récupération publique des enjeux historiques, il sera utile de brosser à grands traits la nature du débat entre historiens sur 1914-1918, débat qui ne sera hélas pas rendu accessible au plus grand nombre.