« Je parais ne plus penser, pourtant je suis » : le rôle du psychologue face à la menace identitaire du sujet âgé
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Avec les défaillances cognitives de plus en plus importantes, les troubles associés du comportement et les troubles moteurs vont faire du malade un être passif. Comment l’individu qui n’est plus en capacité de se raconter à travers le fil historique de sa vie est-il toujours une personne ? Au stade terminal de la maladie, la désintégration de l’identité est quasi-totale. Le lien avec autrui n’est plus verbal mais nécessite des modes de communication plus archaïques qui permettent d’entrer en contact avec la vie psychique de la personne.
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