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Résumé92 % des internes de médecine générale ne sont pas à l’aise avec la prise en charge du décès d’un patient à domicile, qui fait pourtant partie des situations de soins de premiers recours. Explorer les questionnements qui surviennent lors d’un décès à domicile peut être un moyen d’améliorer leur abord et leur prise en charge et de définir la place et le rôle du médecin généraliste face à l’entourage.

92% of general medicine residents are not comfortable with the management of the death of a patient at home, which is nevertheless part of the first-aid situations. Exploring the questions that arise during a death at home can be a way of improving their approach and management and of defining the place and role of the general practitioner in relation to those around them.