L’évaluation de la performance économique des entreprises viticoles en présence de facteurs environnementaux
Type de matériel :
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L’article propose de mesurer la performance des vignobles en tenant compte du facteur environnemental. Les données financières de 38 entreprises vitivinicoles bordelaises ont été analysées avec la méthode DEA. Les calculs de l’empreinte carbone utilisent la consommation des pesticides, engrais et carburants. Les premiers résultats montrent que 42% des entreprises étudiées amélioreraient leur performance au regard de l’utilisation de la main-d’œuvre, des investissements ou de l’empreinte carbone. Un autre résultat intéressant révèle que ce sont les carburants qui constituent un contributeur majeur aux émissions de CO2 à plus de 70%, à l’inverse des pesticides à moins de 30%.
The article proposes to measure the efficiency of vineyards taking into account the environmental factor. The financial data of 38 Bordeaux wine companies were analyzed with the DEA method. Carbon footprint calculations use the consumption of pesticides, fertilizers and fuels. The first results show that 42% of the companies studied would improve their efficiency with regard to the use of labor, investment or carbon footprint. Another interesting result reveals that it is fuels that constitute a major contributor more than 70% to CO2 emissions, unlike phytosanitary products to less than 30%.
El artículo propone medir la eficiencia de los viñedos teniendo en cuenta el factor ambiental. Los datos financieros de 38 empresas vinícolas de Burdeos, Francia, se analizaron a través de una comparación con el método de Análisis Envolvente de Datos (DEA). Los cálculos de la huella de carbono se basan en el consumo de pesticidas, fertilizantes y combustibles. Los primeros resultados muestran que el 42% de las empresas estudiadas mejoraría su eficiencia con respecto al uso de mano de obra, inversión o huella de carbono. Otro resultado interesante revela que los combustibles son un importante contribuyente con más del 70% de las emisiones de CO2, a diferencia de los productos fitosanitarios con menos del 30%.
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