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Le bien commun, argument pro et contra de la fiscalité royale, dans la France de la fin du Moyen Âge

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2010. Ressources en ligne : Abrégé : RésuméDans les années 1280-1300, les théologiens de l’Université de Paris répondent à des questions portant sur les conditions nécessaires à la mise en place des fiscalités urbaine et royale. La « causa finalis » de l’impôt n’est pas pour les maîtres le « bonum commune » mais l’« utilitas communis ». L’un des enjeux de ces questions consiste dans la définition des populations imposables. Au terme des débats, les « magistri » considérent que les clercs font partie de la communauté et qu’ils doivent par conséquent acquitter l’impôt. La justification royale de l’impôt est ouvertement émotionnelle et cantonne l’impôt dans l’ordre de la conjoncture.Abrégé : In the years 1280-1300, the theologians of the University of Paris responded to questions concerning the necessary conditions for putting into place an urban royal taxation system. The « causa finalis » of the tax is not for the masters of the « bonum commune » but the « utilitas communis ». One of the stakes in these questions resides in the definition of taxable populations. At the end of the debates, the « magistri » consider the clerics as part of the community who should thus pay tax. Royal justification of the tax is openly emotional and confines the tax to the order of conjecture.
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RésuméDans les années 1280-1300, les théologiens de l’Université de Paris répondent à des questions portant sur les conditions nécessaires à la mise en place des fiscalités urbaine et royale. La « causa finalis » de l’impôt n’est pas pour les maîtres le « bonum commune » mais l’« utilitas communis ». L’un des enjeux de ces questions consiste dans la définition des populations imposables. Au terme des débats, les « magistri » considérent que les clercs font partie de la communauté et qu’ils doivent par conséquent acquitter l’impôt. La justification royale de l’impôt est ouvertement émotionnelle et cantonne l’impôt dans l’ordre de la conjoncture.

In the years 1280-1300, the theologians of the University of Paris responded to questions concerning the necessary conditions for putting into place an urban royal taxation system. The « causa finalis » of the tax is not for the masters of the « bonum commune » but the « utilitas communis ». One of the stakes in these questions resides in the definition of taxable populations. At the end of the debates, the « magistri » consider the clerics as part of the community who should thus pay tax. Royal justification of the tax is openly emotional and confines the tax to the order of conjecture.

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