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La photographie archéologique comme source indirecte pour l’histoire urbaine

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2016. Ressources en ligne : Abrégé : Deux décennies après les débuts de la photographie romaine, l’archéologue britannique John Henry Parker (1806-1884) entreprenait de faire réaliser par des photographes romains ce qui apparaît rétrospectivement comme le premier grand reportage photographique rendant compte dans sa globalité d’un territoire urbanisé. Comptant plus de 4 000 images prises entre 1855 et 1885, l’exemplaire de la collection Parker conservé par la bibliothèque de l’INHA, sert ici de point de départ, pour une réflexion sur l’usage de la photographie archéologique ou architecturale dans une perspective croisant histoire urbaine et histoire de la photographie. A partir de l’analyse d’une sélection de vues et de la mise en résonnance de certaines d’entre elles avec d’autres clichés de l’époque, il s’agit de montrer le potentiel de cette enquête portant sur le passé de la ville pour la connaissance de sa réalité contemporaine au cours de le seconde moitié du XIXe siècle, sans éluder les écueils méthodologiques d’une telle démarche.Abrégé : Two decades after the birth of Roman photography, British archaeologist John Henry Parker (1806-1884) commissioned Roman photographers to undertake what would become the first major photographic report covering an urbanised area in its totality. Comprising more than 4,000 images made between 1855 and 1885, the copy of the Parker Collection held by the INHA’s Library is the starting point for thinking about the use of archaeological or architectural photography in a perspective that combines urban history and the history of photography. Based on an analysis of a selection of views, as well as a comparison with other photographs of the same period, the aim is to show the potential of this investigation of the city’s past for knowledge about its contemporary reality during the second half of the nineteenth century, without ignoring the methodological shortfalls of such an approach.
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Deux décennies après les débuts de la photographie romaine, l’archéologue britannique John Henry Parker (1806-1884) entreprenait de faire réaliser par des photographes romains ce qui apparaît rétrospectivement comme le premier grand reportage photographique rendant compte dans sa globalité d’un territoire urbanisé. Comptant plus de 4 000 images prises entre 1855 et 1885, l’exemplaire de la collection Parker conservé par la bibliothèque de l’INHA, sert ici de point de départ, pour une réflexion sur l’usage de la photographie archéologique ou architecturale dans une perspective croisant histoire urbaine et histoire de la photographie. A partir de l’analyse d’une sélection de vues et de la mise en résonnance de certaines d’entre elles avec d’autres clichés de l’époque, il s’agit de montrer le potentiel de cette enquête portant sur le passé de la ville pour la connaissance de sa réalité contemporaine au cours de le seconde moitié du XIXe siècle, sans éluder les écueils méthodologiques d’une telle démarche.

Two decades after the birth of Roman photography, British archaeologist John Henry Parker (1806-1884) commissioned Roman photographers to undertake what would become the first major photographic report covering an urbanised area in its totality. Comprising more than 4,000 images made between 1855 and 1885, the copy of the Parker Collection held by the INHA’s Library is the starting point for thinking about the use of archaeological or architectural photography in a perspective that combines urban history and the history of photography. Based on an analysis of a selection of views, as well as a comparison with other photographs of the same period, the aim is to show the potential of this investigation of the city’s past for knowledge about its contemporary reality during the second half of the nineteenth century, without ignoring the methodological shortfalls of such an approach.

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