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Drehspuren am Säulenbauteil des archaischen Heraion von Argos ?

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2004. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : On a récemment pensé qu’un bloc fragmentaire en calcaire, considéré depuis longtemps comme étant un tambour de colonne de l’Héraion d’Argos, aurait peut-être porté des traces de tour à pierre. Même si la date du premier périptère d’Héra à Argos ne fait pas l’unanimité (dans le courant du VIIe siècle av. J.-C.), ce seraient alors les plus anciennes traces de ce type, antérieures à celles relevées en grand nombre sur les bases des deux diptères successifs d’Héra à Samos, conformément à une affirmation de Pline l’Ancien, qui attribue l’invention du tornos à Théodoros de Samos. Toutefois, un réexamen attentif de ce bloc argien permet d’assurer qu’il est dépourvu de traces de tour et qu’il s’agit en réalité d’une base conique, sans doute pour supporter et isoler de l’humidité un fût en bois. Brèves comparaisons avec l’architecture des Cyclades et avec les restes d’autres temples périptères du VIIe siècle, dans le cadre des débuts de l’architecture dorique en Grèce continentale, marqués par le phénomène de la « pétrification ».Abrégé : Lathe marks on the Argive Heraion ?It has recently been thought that a fragmentary architectural block—long considered as the drum of a column of the Argive Heraion—might bear marks from a stone-lathe. Even if the first peripteros of Hera in Argos is not unanimously dated (in the course of the 7th century B. C.), it would become the first monument to bear such marks, older than the many marks observed on the bases of the two successive peripteroi on Samos, if we follow Pliny the Elder who credited Theodoros of Samos with the invention of the tornos. However, careful re-examination of the Argive block assures that there are no lathe traces on its surface. In fact, the block must be a conical base which probably supported a wooden shaft and protected it from humidity. Brief comparisons with Cycladic architecture and other peripteral temples of the 7th century, in the early years of Doric architecture, demonstrate the phenomenon of « petrification », in Continental Greece.
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On a récemment pensé qu’un bloc fragmentaire en calcaire, considéré depuis longtemps comme étant un tambour de colonne de l’Héraion d’Argos, aurait peut-être porté des traces de tour à pierre. Même si la date du premier périptère d’Héra à Argos ne fait pas l’unanimité (dans le courant du VIIe siècle av. J.-C.), ce seraient alors les plus anciennes traces de ce type, antérieures à celles relevées en grand nombre sur les bases des deux diptères successifs d’Héra à Samos, conformément à une affirmation de Pline l’Ancien, qui attribue l’invention du tornos à Théodoros de Samos. Toutefois, un réexamen attentif de ce bloc argien permet d’assurer qu’il est dépourvu de traces de tour et qu’il s’agit en réalité d’une base conique, sans doute pour supporter et isoler de l’humidité un fût en bois. Brèves comparaisons avec l’architecture des Cyclades et avec les restes d’autres temples périptères du VIIe siècle, dans le cadre des débuts de l’architecture dorique en Grèce continentale, marqués par le phénomène de la « pétrification ».

Lathe marks on the Argive Heraion ?It has recently been thought that a fragmentary architectural block—long considered as the drum of a column of the Argive Heraion—might bear marks from a stone-lathe. Even if the first peripteros of Hera in Argos is not unanimously dated (in the course of the 7th century B. C.), it would become the first monument to bear such marks, older than the many marks observed on the bases of the two successive peripteroi on Samos, if we follow Pliny the Elder who credited Theodoros of Samos with the invention of the tornos. However, careful re-examination of the Argive block assures that there are no lathe traces on its surface. In fact, the block must be a conical base which probably supported a wooden shaft and protected it from humidity. Brief comparisons with Cycladic architecture and other peripteral temples of the 7th century, in the early years of Doric architecture, demonstrate the phenomenon of « petrification », in Continental Greece.

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