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RésuméLes sciences de la nature renvoient classiquement de cette dernière une image mécanique. La machine est le paradigme de la physique galiléenne. Les nouvelles théories manifestent un déplacement significatif. La dimension du temps joue de nouveau un rôle important : la nature aurait une « histoire » marquée d’événements. Ce sont d’ailleurs les événements qui permettent un dialogue expérimental avec le monde. Par ailleurs, la théorie quantique prend en compte l’expérience de mesure. Selon le philosophe Michel Bitbol, cela révèle une certaine « participation » de l’observateur au réel étudié. La perception de la complexité du réel renvoie une image de la nature plus riche et plus ouverte que celle de la mécanique classique.